Главная страница

Лексикология методичка. Учебное пособие по лексикологии современного французского языка для самостоятельной работы студентов 3 курса


Скачать 1.34 Mb.
НазваниеУчебное пособие по лексикологии современного французского языка для самостоятельной работы студентов 3 курса
АнкорKtrcbrjkjubz vtnjlbxrf
Дата19.09.2022
Размер1.34 Mb.
Формат файлаdoc
Имя файлаЛексикология методичка.doc
ТипУчебное пособие
#685407
страница17 из 19
1   ...   11   12   13   14   15   16   17   18   19
partielle lorsqu'il y a quelques indices particuliers qui distinguent les homonymes, outre leur signification. Cela peut être le genre grammatical du mot ou son appartenance à la partie du discours : mousse (f) - «мох», mousse (m) - «юнга», aune (m) - « espèce d'arbre » et aune (f) – « ancienne mesure »; coulant (adj.) - « style coulant », et coulant (m) – « sorte de parure »; les homonymes peuvent s'écrire d'une manière différente : mètre (m) - «метр», maître (m) - «хозяин», mettre (vt) - «класть», voix (f) - l. «голос», 2. «залог» (грам.) et voie (f) - «путь» ;haute (adj. fém.) et hôte (m) ; fin (adj.), fin (f), faim (f) et feint (part. passé) ; ; teint (m) – « teint du visage », teint – (part. passé) et thym (m) -
 « plante »; chaîne (f) - « lien composé d'anneaux métalliques passés les uns dans les autres », et chêne (m) – « espèce d'arbre ».

Il arrive que les homonymes se distinguent à la fois par leur genre et leur orthographe : couloir (m) - «коридор», «кулуар(ы) » et couloire (f) - «цедилка» ; bal (m) - «бал» et balle (f) - «мяч».

Les homonymes qui s'écrivent identiquement sont des homographes : cousin (n. m.)  lat. consobrinus – «двоюродный брат» et cousin (n. m.), lat. culex – «комар» ; moule (n. m.)  lat. modulum – «форма» et moule (n. f.) lat. musculum – «раковина» ; louer (v.)  lat. laudare – «хвалить» et louer (v.)  lat. locare - « cнимать жилье ».  

Les homophones sont des mots à prononciation identique ayant des distinctions graphiques et une étymologie différente: chair (n. f.)  lat. caro-«мясо, плоть», chaire (n. f.)  lat. cathedra - «кафедра», cher (adj.)  lat. сarus – « дорогой » et chère (n. f.)  grec. kara - «еда»; feu (adj.)  lat. fatum  - «покойный» et feu (n. m.) lat. focus - «огонь».  

Il s'ensuit que tous les homonymes absolus sont en même temps homophones et homographes ; les homonymes partiels ne sont parfois que des homophones.

Le caractère des relations existant entre les homonymes permet les classer en quelques groupes :

l) Les homonymes lexicaux. On fait entrer dans ce groupe homonymes qui coïncident quant à leur forme phonique et grammaticale Cela signifie que : a) ces mots comportent les mêmes phonèmes (ce qui est indispensable afin que deux mots soient qualifiés d'homonymes) et 2) que ces mots appartiennent à la même partie du discours et possèdent les mêmes catégories grammaticales. Par exemple, les mots chair (f) et chaire (f) sont des homonymes lexicaux, étant donné que ce sont deux substantifs féminins ; au contraire, bal (m) et balle (f), dont le genre est différent, ne le sont pas, quoiqu'ils appartiennent à la même partie du discours. Autrement dit, le groupe des homonymes lexicaux embrasse les homonymes absolus et ceux des homonymes partiels qui ne se distinguent que par leur orthographe.
a) Homonymes lexicaux absolus :

balle (f) - мяч avocat (m) - адвокат

balle (f) - пуля avocat (m, f) - авокадо

balle (f) - тюк botte (f) - сноп

cousin (m) - кузен botte (f) - сапог

cousin (m) - комар botte (f) - выпад в фехтовании
b) Homonymes lexicaux partiels :

faim (f) - голод pore (m) - пора

fin (f) - конец porc (m) - свинья

pain (m) - хлеб port (m) – порт

pin (m) - сосна
2) Les homonymes grammaticaux. Ce groupe embrasse les homonymes partiels qui se distinguent grammaticalement, autrement dit ceux qui appartiennent à des catégories grammaticales différentes. Une subdivision peut être faite dans ce groupe d'homonymes :

a) les homonymes grammaticaux appartenant à la même partie du discours ; dans les contextes la différence grammaticale entre ces homony­mes se manifeste par l'accord (lorsqu'il s'agit d'un nom) ou par le régime (s'il s'agit d'un verbe). Tels sont les mots bal (m) et balle (f), bout (m) et boue (f), dont la forme phonique coïncide, mais qui se distinguent par le genre ; la différence de leur forme grammaticale apparaîtra nettement dans l'énoncé, car leur genre sera exprimé par les formes de l'accord : on va à unbal, on est la reine dubal, on joue à laballe, on aune balle rouge ; on est assis au bas bout de la table, on a horreur de la boue épaisse de l'automne ; mets la poêle à frire sur le poêle, etc.

b) les homonymes grammaticaux appartenant aux différentes parties du discours; la différence d'ordre grammatical entre ces homonymes est encore plus accusée puisqu'ils ne coïncident phonétiquement que dans une de leurs formes. Par exemple, envisagés dans leur forme principale, le substantif bond (m) et l'adjectif bon sont des homonymes ; mais si l'adjectif est pris au féminin (bonne) l'homonymie disparaît. Seulement dans une de ses formes, précisément à l'infinitif, le verbe boucher (vt) est l'homonyme du substantif boucher (m) ; si ce même verbe est employé dans une autre forme, par exemple, à la première personne du pluriel — bouchons, il n'est plus l'homonyme du substantif boucher (m). L'adjectif bon, pris au masculin, n'est pas l'homonyme du substantif bonne (f) ; mais ce même adjectif, pris au féminin, devient un homonyme grammatical de ce substantif. Le verbe boucher (vt) n'est pas l'homonyme du substantif bouchon (m), mais une de ces formes (bouchons) devient son homonyme grammatical.

De cette façon, les homonymes lexicaux, comme on l'a vu, peuvent être absolus et partiels, tandis que les homonymes grammaticaux ne sont que partiels.

En français ce sont surtout les verbes qui fournissent un grand nombre d'homonymes grammaticaux, grâce à leur système développé de conjugaison, ainsi les homonymes lexicaux cou (m), coup (m) et coût (m) ont pour homonymes grammaticaux : coud et couds — formes du verbe coudre; les homonymes lexicaux pain (m) et pin (m) ont pour homonymes grammaticaux peint et peins - formes du verbe peindre, et ainsi de suite.
7. L'origine de l'homonymie. L'apparition des homonymes dans une langue est avant tout le résultat de différents phénomènes linguistiques qui s'opèrent dans la langue au cours de son développement. On distingue quatre sources principales des homonymes en français.

1) L'homonymie peut être une conséquence du développement phonétique des mots qui primitivement avaient une forme différente. Dans u grand nombre de cas c'est précisément ce processus qui a donné naissance à des homonymes : pain (m)  lat. panis ; pin (m)lat. pinus ; peint  lat. pi(n)ctum ; foi (f)  lat. fides ; fois (f)  lat. vices; foie (m)  lat ficatum ; pore (m)  lat. porus ; porc (m)  lat. porcus ; port (m)  lat. portus.

2) L'emprunt occupe aussi un certaine place dans la formation des homonymes. II arrive qu'un mot emprunté à une langue étrangère ait la même forme phonique qu'un mot déjà existant dans la langue. Il est à noter que les mots étrangers, surtout empruntés à une langue de la même famille, s'adaptent assez facilement à la prononciation de la langue qui les emprunte.

Ainsi le mot botte (f) (« coup porté avec le fleuret ou l'épée ») esl un mot d'origine italienne (« botta »), qui a été emprunté au XVIe siècle et s'est adapté à la manière française de prononcer, tandis que botte (f) (« gerbe ») est un ancien emprunt au néerlandais, assimilé déjà vers cette époque et qui signifiait jadis «touffe de lin». Le substantif fête (f) est un mot français d'origine latine ; son homonyme faîte (m) («конек кровли», «верхушка») remonte au francique. Dans la série des homonymes bar (m) - 1. «вид окуня», 2. «бар, кафе», 3. «бар» (единица атмосферного давления), le premier est d'origine néerlandaise, le deuxième - un emprunt à l'anglais, le troisième - un terme international formé du grec baros - « pesanteur ».

3) La dérivation est une autre source bien féconde de l'homonymie en français. Des exemples de nature diverse le confirment.

Parfois, le même suffixe s'unissant à des bases homonymes crée des homonymes de dérivation : le mot boursier (m) («биржевик») est formé du mot bourse (f) — 1. «биржа» à l'aide du suffixe -ier (le même que dans les mois fermier, cordonnier, routier, etc.) ; son homonyme boursier (m) («стипендиат») est formé du mot bourse (f) — 2. «стипендия» à l'aide du même suffixe.

Il y a des cas où l'homonymie lexicale est une conséquence de l'adjonction au même radical de morphèmes-homonymes : le verbe boucher (vt) est constitué du radical bouche- et de la terminaison de l'infinitif du premier groupe -er ; le substantif bouchée (f) est formé de la même base et du suffixe -ée (cf. : poignée, cuillerée, assiettée, etc.) ; les deux mor­phèmes -er et -ée sont homonymes.

Un grand nombre d'homonymes est le résultat de la dérivation impropre.

Rappelons que la dérivation impropre est un type de création lexicale par la transposition d'un mot d'une partie du discours dans une autre ; ainsi, le mot coupe (f) (du verbe couper) devient un homonyme du subs­tantif coupe (f) «чаша» ; lutte (f) (du verbe lutter) — un homonyme de luth (m), («лютня»). Ajoutons encore les cas tels que lever (v) et le lever (du soleil) qui sont nombreux.

Un cas particulier de la transposition lexico-grammaticale est offert par les changements sémantiques qui, appuyés par les caractéristiques gramma­ticales, amènent à la formation d'un mot nouveau, d'un homonyme. Telles sont les formations qui sont le résultat d'un changement de genre. Ainsi, les substantifs du genre féminin désignant quelque occupation donnent naissance à des substantifs du genre masculin désignant les personnes qui les exercent ; tels sont : garde (f) et garde (m) ; aide (f) et aide (m) ; radio (f) et radio (m).

4) Il existe une source importante d'homonymie qui est due uniquement à un écart sémantique qui se produit dans un mot polysémique à l'origine. On assiste alors à l'apparition de mots différents à la suite de la rupture des liens sémantiques qui unissaient les sens du mot polysémique.

En effet, il arrive parfois qu'au cours du développement de la langue, deux significations du même mot s'éloignent l'une de l'autre à tel роint qu'on cesse d'en percevoir le lien primitif; au lieu d'un mot à plusieurs sens on commence à voir deux mots différents, deux homonymes. Dans ces cas l'homonymie peut être considérée comme le dernier degré de polysémie.

Un exemple devenu classique est offert par l'histoire des homonymes grève (f) - 1. « plage de sable » et grève (f) - 2. « cessation du travail (du lat. pop. grava — « sable, gravier », car à Paris, place de Grève au bord de la Seine, se réunissaient autrefois les ouvriers sans travail.

De même, le mot balle («мяч») s'est dédoublé au cours de son évolution sémantique en donnant des homonymes : 1. «мяч» et 2. «пуля». Le processus s'est produit graduellement : on a commencé à appeler balle les boulets de canon qui rappelaient une balle par leur forme sphérique. Ensuite, on a donné ce nom aux projectiles des armes à feu modernes, qui ne ressemblaient pas aux balles, mais qui étaient de même des projectiles ainsi que les boulets de canon. Cependant, on a cessé d'utiliser les boulets sphériques; ce chaînon de l'histoire du mot a sombré dans l'oubli. Actuellement on ne voit pas clairement ce qu'il y a de commun entre projectile d'un fusil et une balle à jouer. Le mot à deux sens a formé deux mots, deux homonymes.

Un autre exemple est fourni par l'histoire des homonymes pair, -e (adj.) et pair (m). Ce sont aujourd'hui des homonymes grammaticaux, mais ils se sont formés à la suite du développement sémantique d'un seul mot. Primitivement, la langue ne possédait que l'adjectif pair (du lat. par), qui signifiait « égal ». À l'époque féodale cet adjectif s'employait souvent comme terme juridique ; selon les lois de cette époque un noble ne pouvait être jugé que par ses pairs, par des personnes du même rang. Ensuite les princes puissants commencèrent à s'entourer de leurs pairs, de personnes d'un très haut rang. Enfin, le mot pair commence à dési­gner tout simplement un des plus hauts titres de noblesse ce qui constitue en quelque sorte le contraire du sens du mot primitif, qui a également subsisté. L'association entre ces deux sens s'est effacée, car les chaînons intermédiaires qui les reliaient ont disparu.

L'homonymie sémantique peut être accompagnée de divergences d'ordre grammatical. II y a des homonymes dans lesquels la différence de genre a surgi comme moyen de distinguer deux homonymes sémantiques ; ainsi, le mot mode fut jusqu'au XVIe siècle du genre féminin dans toutes ses acceptions. Le masculin ne s'est introduit qu'au XVIII siècle pour des sens spéciaux (comme termes de musique, de grammaire), ce qui a аmené une séparation formelle de deux homonymes : mode (f) et mode (m).

Dans le français d'aujourd'hui il y a deux mots-homonymes : mémoire (f) («память») et mémoire (m) («докладная записка ; диплом») mais encore au XIVe siècle c'étaient deux acceptions d'un seul mot du genre féminin ; la différence de genre s'est introduite assez tôt, au XVe siècle pour distinguer ces deux acceptions, et de ce fait a apparu mémoire (m), l'homonyme de mémoire (f).


III. EXECICES PRATIQUES
Exercice 1. Sur quoi est basé ce jeu de mots? Faites attention aux significations des mots en caractères gras.

L’empereur Napoléon I n’aimait pas passer beaucoup de temps à table. Or, un jour, pendant le déjeuner, sa femme l’impératrice Joséphine ne cessait de parler. Impatienté, Г empereur finit par lui dire:

- Savez-vous, madame, la différence entre vous et le miroir?

- Non,.

- Le miroir réfléchit et vous ne le faites pas.

Alors Joséphine qui avait de l’esprit répliqua:

- Et vous, sire, savez-vous la différence entre vous et le miroir?

-Non.

- Bon,-je vous le dirai. Le miroir est poli et vous, monsieur, vous ne l’êtes pas.
Exercice2. Complétez les phrases ci-dessous par les mots convenables:

1) Je vous l’ai dit cent (foi, fois). 2) On ne peut tout seul garder la (foi, fois) en soi-même.

1) Les pourparlers sont en bonne (voie, voix). 2) La (voie, voix) de Maria Callas était d’une étendue peu commune - presque trois octaves.

1) Tel (pair, père, paire), tel fils. 2) C’est une autre (pair, père, paire) de manches. 3) Un artiste ne peut attendre aucune aide de ses (pair, père, paire).

1) L’homme ne vit pas seulement de (pin, pain), mais il vit aussi de (pin, pain). 2) Le (pin, pain) contient de la résine.

1) Ce n’est pas la (mer, mère) à boire. 2) Oh! L’amour d’une (mer, mère), amour que nul n’oublie!
Exercice3. Trouvez les homonymes (homophones, homographes, hétérographes) des mots ci-dessous:

voie, pain, mer, père, bois, chaîne, col, corps, dé, faire, fin, foie, moi, né, sain, sel, sol, vain.
Exercice4. .Expliquez sur quoi est basé ce malentendu survenu pendant la guerre civile en Espagne :

Ximénès avait demandé les grenades dans la nuit. L’officier chargé de la distribution d’armes était un émigré allemand, et, à l’aube, Ximénès, ébloui d’une telle efficacité avait vu arriver les camions - chargés de grenades-fruits.

Enfin, dûment réclamées, les vraies grenades étaient arrivées. [Malraux]

Exercice5. Dans les phrases ci-dessous traduisez en russe les mots en italique :

1) La correspondance de leurs goûts les rapproche. 2) Une correspondance suivie avait commencé de s’établir entre nous. 3) I) n’y a pas de correspondance ferroviaire entre ces deux villes.

1) Allez régler à la caisse et revenez chercher votre paquet. 2) Les oranges sont dans ces caisses.

1) Le cadre met en valeur cette aquarelle, 2) Il a droit à la retraite des cadres.

1)11 devait régler ses affaires avec les régisseurs de ses domaines. 2) J’avais la tête tellement troublée que je n’ai pas entendu les trois coups du régisseur.
Exercice6. Dites à quoi est due l’homonymie des termes suivants Précisez leur signification:

blaireau, chien, dauphin.
Exercice7. Observez l’emploi des homonymes dans la comptine enfantine suivante. Précisez la signification de ces homonymes :

Foix

Il était une fois

Un marchand de foie

Qui vendait du foie

Dans la ville de Foix

Il se dit: «Ma foi,

C’est là dernière fois

Que je vends du foie

Dans la ville de Foix».
Exercice8. Parmi les mots ci-dessous trouvez les antonymes et groupez-les par paires:

• jour, partir, difficile, vérité, mal, actif, facile, attentif, bien, nuit, mensonge, distrait, arriver, passif.
Exercice9 . Citez les contraires des mots suivants:

• bref, bon, franc, léger, haut, gros, gai, fécond, lisible, rapide, heureux, bienveillant, maigre, intelligent, beau, obscur, bavard, externe, humide ;

• franchise, vertu, amitié, joie, jeunesse, douceur, clarté, sécheresse, laideur, faiblesse, guerre;

• entrer, descendre, mourir, ralentit;, approuver, plaire, commencer, affirmer, rapetisser, échouer;

• joyeusement, soigneusement, lentement, délicatement, habilement ;

• devant, avant, dessous.
Exercice10. Classez les antonymes ci-dessous en trois groupes: contraires, complémentaires et opposés :

facile - difficile, léger - lourd, jeune - vieux, vrai - faux, possible - impossible, aveugle - voyant, se lever - se coucher, avant - derrière, arriver - partir, colonialiste - anticolonialiste, mort – vivant, vivre - mourir.
Exercice11. Précisez la différence de sens des paronymes suivants:

éminent - imminent, conjecture - conjoncture, allocation – allocution,

percepteur - précepteur, partiel - partial, originel - original, différent - déférent.
Exercice12. Choisissez la bonne forme :

1) Il y à eu une (collision, collusion) entre ces deux véhicules. 2) Il tient compte de vos (suggestions, sujétions). 3) Elle a fait brusquement irruption) dans la salle.
Exercice13. Dans le texte ci-dessous trouvez les cas de paronymie créée par l’auteur et faites attention à sa valeur stylistique :

«Quadragénaire, Daniel! Nous voilà du même bord. Avez-vous remarqué ? C’est à quarante qu’on devient génaire. Et qui dit génaire dit gêneur... Et vous êtes toujours célibataire! Un célibagénaire, oui, mon pauvre Daniel». [Bazin]
Exercice14. Trouvez les exemples d’étymologie populaire utilisés dans les textes suivants. Précisez leur signification et justifiez leur emploi :

• - C’est plus une retraite stratégique qu’une défaite et l’as Pic ne remporte, somme toute, qu’une victoire à l’épi russe. [Queneau]

• - Pourquoi que vous vous appelez l’âne à Corette?

- Anachorète, répond l’autre, c’est un mot grec pour dire: qu’on mange et qu’on ne boit presque pas, comme on dirait un fakir. [ibid.]
IV. QUESTIONS D’AUTOCONTRÔLE :

  1. 1   ...   11   12   13   14   15   16   17   18   19


написать администратору сайта